jeudi 27 septembre 2007

PAGE BLANCHE 95.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.

lundi 24 septembre 2007

PAGE BLANCHE 94.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.

jeudi 20 septembre 2007

PAGE BLANCHE 93.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.

lundi 17 septembre 2007

PAGE BLANCHE 92.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.

jeudi 13 septembre 2007

PAGE BLANCHE 91.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.

mardi 11 septembre 2007

LA COMMUNAUTÉ.

Voici 4 pages de l' autre projet en cours, et qui doit, tout comme "Les Postiches", sortir chez Futuropolis.
Pour éviter de me répéter et pour ceux qui veulent en savoir plus, il suffit d'aller sur le label "La communauté" afin de savoir de quoi il en retourne.





vendredi 7 septembre 2007

PAGE BLANCHE 90.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.

mercredi 5 septembre 2007

PAGE BLANCHE 89.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.

mardi 4 septembre 2007

MAX ET LES FERRAILLEURS.

Outre les films des années 80, je revois aussi quelques classiques des années 70. Et notamment, le fameux "Max et les ferrailleurs" de Sautet (1971). Ce film, c'est d'abord un souvenir d'enfance. J'en avais retenu plusieurs choses: le visage très dur de Piccoli, l'imper en cuir noir de Romy et son allure terriblement sexy, la casse des ferrailleurs et Bobby Lapointe, dont la mort à la fin, m'avait rendu bien triste. J'aimais bien la "maman des poissons" à l'époque ( même encore maintenant).
A revoir de toute urgence.





LES POSTICHES.

Voici quelques nouvelles pages du projet avec David B, inspiré de la véritable histoire du "Gang des postiches". Je dis bien "inspiré", car plus le projet avance et plus David prend ses libertés avec la version officielle, le but n'ayant jamais été d'y coller à 100%. Les noms changent, le parcours des personnages quelque peu aussi.
Quand à moi, question dessin, je me sens beaucoup plus à l'aise qu'au départ. Je commence à m'habituer aux personnages, aux voitures ainsi qu' au Paris des années 80. Ma source principale de documentation, je la puise dans les films de cette époque, et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça n'est pas folichon: "La Balance"( ça se voulait moderne à l'époque, mais c'est juste un très mauvais film), "Tchao Pantin"(ça casse pas trois pattes à un canard), "Pinot simple flic"(...).
Le seul qui tire son épingle du jeu, c'est "Police" de Pialat. Les scènes se passant à Belleville sont très réalistes pour la bonne raison qu'il a été chercher des gars du coin pour jouer les rôles. Et puis Depardieu est très bon en flic balourd et macho. Je passe sur la coiffure de Sophie Marceau. De toute façon, j'aime bien Pialat. "Van Gogh "est un de mes films préférés.
Voilà, voilà.




PAGE BLANCHE 88.

Le principe immuable des « Pages Blanches » : Un nom au hasard dans l’annuaire de Loire-Atlantique = un portrait imaginaire.